LA PHYTO-AROMATHERAPIE

But
Les plantes apportent des solutions à la plupart de nos maux quotidiens.
Elles ont été classées selon les différents systèmes que composent le corps humain:
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- La beauté et cosmétique, le bien-être, …
- Problèmes de peau : acné, eczéma, rougeurs, …
- Les règles douloureuses, la ménopause, trouble de la prostate, …
- Les troubles du sommeil, détente, stress, dépression, …
- Renforcer les défenses naturelles, défense hivernale, …
- Bien-être respiratoire, toux, rhumes, …
- Les douleurs articulaires, musculaires, …
- Problèmes de rétentions d’eau, d’éliminations, les troubles urinaires, …
- Troubles de la circulations sanguines, trouble cardiaque, …
- Les troubles métaboliques, de digestions, du transit, …
- Aide à la perte de poids, détox de l’organisme, …
Conseil en aromathérapie, Fleurs de Bach, Homéopathie, Gemmothérapie, oligo-éléments.
Histoire de la phyto-aromathérapie
Science très ancienne, la phytothérapie n’est pas propre à l’espèce humaine. En effet, nombreuses sont les espèces animales, des insectes aux chimpanzés qui savent choisir dans leur habitat les plantes utiles pour corriger des carences alimentaires ou soigner certaines maladies. Ainsi, il est tout à fait vraisemblable que l’utilisation des plantes à des fins thérapeutiques par l’homme ne soit que l’évolution de savoirs animaux dont l’origine nous échappe encore.
Compte tenu des données archéologiques à notre disposition, il est raisonnable de penser que l’être humain se soit toujours intéressé aux plantes. D’une part, dans le but de se nourrir (plantes comestibles et poisons de flèches pour la chasse) et d’autre part pour se soigner (plantes médicinales) comme en témoignent les vestiges laissés par les hommes à cette époque : peintures de grotte, poteries…
Ce n’est cependant qu’après la naissance de l’écriture, et grâce au développement du papier ou du parchemin que l’on est en mesure de documenter des usages précis dans le temps. Les premiers écrits remonteraient jusqu’à 5000 avant Jésus Christ, avec notamment la tablette sumérienne de Nippur, qui mentionnait une douzaine de recettes et plus de 250 plantes différentes, dont le pavot à opium. Le premier traité médical majeur proviendrait de Chine en 2500 av. J.C. Il s’agit du “Shennong bencao jing” dont l’origine est attribuée à Shennong, un empereur mythique qui aurait vécu à cette période. Si les origines de ce texte sont sujettes à débat, les premières traces écrites retrouvées sur les usages des plantes ont donc déjà plusieurs millénaires.
Le papyrus d’Ebers daté de 1500 av. JC est considéré comme le plus ancien traité de prescription médicale et mentionne plusieurs centaines de recettes, à base de plantes, de minéraux ou de parties d’animaux. A cette même période, des traces d’usages de plantes médicinales sont retrouvées dans les védas de la tradition indienne.
Depuis, plusieurs étapes et personnages ont marqué l’histoire de l’usage des plantes médicinales, et vous pouvez retrouver quelques figures et événements clés sur cette frise chronologique :